« Il y avait encore une géographie de traverse pour peu qu'on lise les cartes, que l'on accepte le détour et force les passages.
Loin des routes, il existait une France ombreuse protégée du vacarme, épargnée par l'aménagement qui est la pollution du mystère.
Une campagne du silence, du sorbier et de la chouette effraie. »
Sylvain Tesson, Sur les chemins noirs
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